jeudi 4 septembre 2008
Le RSA et ses risques
mardi 26 août 2008
Les bizarreries du classement de Shanghaï
mercredi 11 juin 2008
Bilan sur les baisses et hausses d'impôt
vendredi 6 juin 2008
Retour sur la rétention de sûreté ?
jeudi 29 mai 2008
Les dérives de l'usage de l'ADN
mercredi 21 mai 2008
Les problèmes du Plan Banlieues
samedi 3 mai 2008
RSA vs PPE
mercredi 30 avril 2008
Les droits de l'homme et Sarkozy, ça fait toujours deux
vendredi 25 avril 2008
À propos du RSA, de nouveau
vendredi 18 avril 2008
La droite contre les familles ?
L'histoire à nouveau en ligne de mire
mardi 15 avril 2008
Faut-il baisser le nombre de profs?
jeudi 10 avril 2008
L'Elysée n'applique pas la rigueur à son propre fonctionnement
Comment être crédible après, quand on justifie un "requalibrage" du Revenu de Solidarité Active (destiné aux plus pauvres) au nom des contraintes budgétaires ?
samedi 5 avril 2008
L’électeur antidaté Sarkozy
Nicolas Sarkozy a voté aux municipales, non pas à Neuilly comme depuis trente ans, mais dans le 8e arrondissement, son lieu de résidence présidentielle. Pour cela, il a dû se réinscrire comme tout le monde sur les listes électorales de sa nouvelle commune. Or, nous savons tous que la dernière limite pour s’inscrire ou changer de lieu de vote est fixée au 31 décembre de l’année précédant le scrutin. Mais Nicolas Sarkozy et ses conseillers semblent avoir oublié ce petit détail, puisqu’ils ont dû demander à la Mairie du 8e un petit « arrangement » : début janvier, le 3 et le 4, deux émissaires de l’Elysée se sont occupé de faire inscrire le Président sur les listes du 8e, mais en antidatant les documents, signés ensuite par le Président, pour qu’ils rentrent dans les délais légaux (voir Le Canard Enchaîné du 2 avril 2008). En échange, le maire du 8e, François Lebel (qui a protesté lorsqu'il a été mis au courant) a obtenu l'assurance qu'il célèbrerait le mariage de Nicolas et Carla, ainsi que le soutien officieux de Sarkozy lors des municipales, contre le candidat officiel de l'UMP.
Pourquoi prendre ce risque légal et commettre ce délit (« faux en écritures publiques ») qui est passible selon le Code pénal de 7 ans de prison ? Tout simplement pour s’assurer que Nicolas Sarkozy pourrait bien voter : n’ayant plus aucune attache administrative à Neuilly, n’importe quel électeur aurait pu le faire radier des listes, entre le 10 et 20 janvier, comme le prévoit le Code électoral. L’avidité civique de Nicolas Sarkozy lui fait honneur, espérons seulement qu’il soit plus à cheval sur les autres lois de la République…
F.R.B.
mardi 1 avril 2008
Faut-il réformer le smic?
lundi 31 mars 2008
Nicolas Sarkozy a-t-il vraiment changé de style?
La confirmation de ce qu'on attendait sur le Livret A et la Caisse des dépôts et consignations
dimanche 9 mars 2008
Où en est le RSA?
Santé et inégalités
On a souvent tendance à poser la question politique de la santé et de l'accès aux soins en termes strictement chiffrés : en gros, qui paie, pour qui et quel sera le niveau de remboursement ? Ce que montre Éric Fassin dans un numéro de la revue Raison pratique dont on peut consulter un extrait ici, c'est que la question des inégalités sociales de santé est bien plus large. Il faut défendre l'accès aux soins en tant que droit, mais ne pas perdre de vue que la santé est affaire de justice sociale de manière bien plus large : « Améliorer son état de santé, cela ne dépend pas seulement du domaine des soins : obtenir un logement décent, une meilleure éducation, un accès à l'emploi, des conditions correctes de travail, ce sont des facteurs bien plus déterminants. Ce qui ne veut pas dire que l'accès aux soins soit sans importance. En fait, plus que pour ses conséquences sur la santé, l'accès aux soins doit être défendu en tant que droit. Et c'est précisément cette dimension qu'on perd de vue quand on avance des mesures pour financer la Sécurité sociale comme le forfait hospitalier ou la franchise médicale dont il s'agit moins de contester le bien-fondé dans l'absolu que le fait qu'en l'appliquant à tous, on ne pénalise que les plus pauvres, les excluant du droit à des soins » (nous soulignons).
S.C.
Logement social : le bilan en demie-teinte de la loi Solidarité et renouvellement urbain
Un très intéressant article de L'Observatoire des inégalités , qui se fonde sur une étude de la fondation Abbé Pierre, dresse le bilan de la loi SRU, votée en 2000, qui fixait un objectif de 20% de logements sociaux par commune.
Entre les communes qui ne construisent pas de logements sociaux du tout, et celles qui en construisent, mais ne les destinent pas, en réalité, aux plus démunis, il y a encore beaucoup à faire. Comme le notent justement les auteurs de l'article, on touche ici du doigt la tension entre un discours officiel qui proclame le droit au logement et une action politique qui ne place pas cette solidarité parmi ces priorités. Il y a pourtant tout lieu de penser que le logement, la manière dont on dessine la géographie sociale et économique du pays, est un des leviers les plus importants d'une politique sociale.
L'autocensure (ou le soutien actif) continue...
La méfiance vis-à-vis des pauvres
Les bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle Complémentaire vont être davantage contrôlés, selon une décision du Ministre des Comptes Publics, Eric Woerth, alors que des associations comme Médecins du Monde pensent au contraire que beaucoup de pauvres n'y ont justement pas recours, par manque d'information principalement. Information à consulter, avec d'autres, ici.
B.B.
dimanche 17 février 2008
Quand l'injustice des franchises médicales devient inacceptable
Politique du logement social à Neuilly-sur-Seine
CNRS en danger
Plus de publicité sur France Télévisions : à quel prix?
De nouveaux vigilants
Sarkozy et Poutine
dimanche 20 janvier 2008
L'instituteur et le curé
Voyages, voyages
La vocation de Sarkozy
F. R. B.